Les dangers du stérilet au cuivre

Pendant longtemps, je n’ai pas trop su si le stérilet au cuivre était dangereux ou pas. C’était un peu un angle mort dans mon analyse des moyens de contraception modernes. Dans la mesure où ça ne semblait avoir qu’une action locale, ça ne semblait pas être une mauvaise idée. Cela dit, déjà, le fait qu’il puisse avoir une action spermicide laissait craindre le pire (voir Ameli : « le DIU au cuivre a un effet spermicide et rend les spermatozoïdes inactifs. »). Mais, on pouvait se dire que l’action n’étant que très locale, elle n’affectait pas le reste du corps.

En regardant une vidéo d’une femme ayant eu des problèmes avec le stérilet au cuivre, je crois avoir compris où est le problème.

 

Problème général des métaux lourds

 

En fait, le problème du cuivre est celui d’une grande partie des métaux lourds : ça doit prendre la place des métaux indispensables à la santé corporelle. C’est-à-dire le sodium, le potassium, le calcium, le fer et deux ou trois autres.

Par exemple, le fonctionnement des nerfs repose sur le sodium et le potassium. Celui des muscles sur le calcium. Celui des globules rouges sur le fer.

Donc, le cuivre va prendre la place du sodium et du potassium dans les nerfs, ce qui va provoquer une chute de la concentration de ces métaux. Donc, le signal électrique nerveux ne va plus bien passer. En fait, il va avoir ainsi tendance à alternativement soit ne plus passer du tout ou faiblement, soit à passer fortement de façon désordonnée.

Dans le premier cas, il y aura des faiblesses musculaires. Dans le second cas, il y aura des crampes. C’est pour ça que les femmes qui ont un stérilet en cuivre peuvent développer des règles douloureuses et une alternance de diarrhées et de constipation. Elles vont développer aussi des problèmes de douleurs dans le bas du dos parce que la concentration en sodium, potassium et calcium va être plus particulièrement basse dans les zones à proximité du stérilet.

D’ailleurs, le fait que ça rende les règles douloureuses est une chose avouée à demi-mots par la médecine officielle. On ne dit pas clairement que ça cause des douleurs menstruelles, mais on ne recommande pas le DIU au cuivre chez les femmes qui ont des règles douloureuses, parce que ça aggrave le problème. Mais, en fait, ça va le provoquer chez des femmes qui n’avaient aucun problème.

Evidemment, ça peut affecter le cœur et donc entrainer des palpitations cardiaques. C’est ce qui est arrivé à la femme de la vidéo. Mais, comme on a affaire à des femmes jeunes, ça ne va pas conduire à des crises cardiaques mortelles, ou alors très peu.

Ça va également affecter les sens, avec par exemple un gout modifié. Il pourra y avoir des démangeaisons, des picotements.

Ça va également affecter le cerveau. Donc, il y aura des pertes de mémoire, des faiblesses cognitives et éventuellement des crises d’épilepsie. Là, encore, comme les femmes qui utilisent le stérilet au cuivre sont jeunes, ça sera léger. Mais, ça pourra arriver chez certaines d’entre elles.

Stérilet au cuivre et femmes épileptiques

 

Au passage, le DIU est apparemment la méthode contraceptive de choix pour les femmes épileptiques, que ce soit au cuivre ou hormonal. Et comme dans la population générale, environ 60 % des DIU posés sont au cuivre, ça veut dire qu’une grande proportion de femmes épileptiques va avoir ce type de stérilet. C’est ce qu’on peut lire dans ce document de la HAL (Spécificités de la prise en charge de la femme épileptique, Sophie Dupont, 2018), page 5.

« Les recommandations de l’OMS en la matière sont claires :

– le dispositif intra utérin (DIU) (hormonal ou au cuivre) est la méthode contraceptive de choix pour les patientes épileptiques quel que soit leur traitement »

C’est fait exprès. Comme ça, ça permet d’entretenir la maladie et de continuer à vendre des traitements antiépileptiques.

 

Hausse du taux de cortisol

 

Comme le manque de sodium va avec une augmentation du taux de cortisol, il va y avoir une augmentation du stress, de l’angoisse, de l’insomnie, de l’ostéoporose, une hausse de tension, etc…

A l’inverse, quand le stérilet sera retiré, il y aura un effondrement du taux de cortisol, et donc une hypotension, un manque d’énergie, des douleurs articulaires, etc… Donc, contrairement à ce que disent les médecins, le stérilet au cuivre est relié à des problèmes d’hormones, même si c’est de façon indirecte.

 

L’augmentation du taux de cortisol devrait entrainer une prise de poids. Et effectivement, il y a prise de poids sous stérilet cuivre. C’est ce que dit cette étude. Sur 10 ans, les 2138 participantes avaient gagné dans les 5 kg, plus qu’avec le stérilet hormonal.

Et encore, les utilisatrices prennent en général une protection hormonale juste avant de passer au stérilet cuivre. Donc, le taux de cortisol élevé lié la contraception hormonale s’effondre à ce moment-là, ce qui les fait maigrir, puis les protège de la prise de poids pendant plusieurs mois, et peut-être même un an. Et les problèmes de diarrhées qu’il y a sous stérilet cuivre protègent en partie de la prise de poids.

Par contre, sous contraception hormonale, les femmes doivent avoir tendance à faire plus attention à leur alimentation, puisqu’elles savent que la pilule ou le stérilet hormonal fait grossir. Donc, on peut penser que sans ça, les femmes gagneraient un peu plus de poids sous contraception hormonale.

« À la fin de la première année d’utilisation, on a constaté une augmentation du poids moyen de 1,3 kg, 0,7 kg et 0,2 kg chez les utilisatrices de DMPA, de SIU-LNG et de DIU-Cu, respectivement, par rapport au poids de départ (p < 0,0001). Après dix ans d’utilisation, le poids moyen avait augmenté de 6,6 kg, 4,0 kg et 4,9 kg chez les utilisatrices de DMPA, de SIU-LNG et de DIU-Cu, respectivement. Les utilisatrices de DMPA avaient pris plus de poids que les utilisatrices de LNG-IUS (p = 0,0197) et que les utilisatrices de Cu-IUD (p = 0,0294), les deux derniers groupes ne différant pas significativement les uns des autres à cet égard (p = 0,5532). »

(Note : le DMPA, c’est de l’acétate de médroxyprogestérone, donc, un contraceptif hormonal.

Et le SIU-LNG, c’est système intra-utérin au lévonorgestrel)

 

Risque de grossesse extra-utérine et de fausse couche

 

Logiquement, le stérilet au cuivre entraine également un risque de grossesse extra-utérine, ainsi que des fausses couches.

En effet, comme on l’a vu, le stérilet au cuivre entraine une carence en sodium, potassium et calcium, ce qui entraine soit des contractions trop faibles, soit des contractions trop importantes et éventuellement désordonnées, donc inefficaces. Donc, l’ovule va avoir tendance à ne pas descendre complètement dans l’utérus, puisque sa transition des ovaires jusqu’à l’utérus se fait via des mouvements musculaires. Donc, si l’ovule reste dans les trompes, ça peut entrainer une grossesse extra-utérine.

Ça peut également entrainer des fausses couches, puisqu’il pourra y avoir des contractions expulsant le fœtus bien avant le terme. Et il n’y a pas que les éventuelles contractions. L’inflammation de l’endomètre n’aidera pas non plus (voir plus bas). D’autant plus que ça entrainera le risque que le fœtus ne soit pas viable. Or, on peut voir ici que 60 % des fausses couches seraient liés à des anomalies de l’embryon qui empêchent son développement normal.

Bien sûr, le risque de tomber enceinte quand on porte un stérilet est très faible. Mais, peu de temps après un retrait du stérilet, la femme pourra tomber enceinte. Et il y aura encore un manque de métaux essentiels, spécialement dans l’utérus. Donc, il y aura un risque de grossesse extra-utérine.

Ça peut arriver aussi au bout de quelques années si la presque totalité du cuivre a disparu. En effet, les sécrétions de l’utérus attaquent le cuivre, qui peut finir par disparaitre. C’est ce qu’on peut voir ici :

« Le port d’un DIU au cuivre constitue le seul exemple d’un métal inséré dans l’organisme dans le but de s’y dissoudre et d’y diffuser les ions libérés afin de modifier un processus physiologique. L’attaque d’un stérilet in vivo par les sécrétions utérines entraîne en effet une corrosion de sa charge métallique suivie d’une perte de matière pouvant aboutir à la disparition de cette dernière. »

Donc, quand il ne va plus rester beaucoup de cuivre, une grossesse pourra arriver, et s’il y a toujours carence en métaux essentiels, il pourra y avoir grossesse extra-utérine et fausse couche.

Apparemment, ça peut même arriver des années après la dépose du stérilet. C’est ce qu’on peut voir ici :

« Des concentrations sériques élevées de cuivre ont été  détectées dans le liquide utérin des anciennes utilisatrices de DIU au cuivre souffrant de fausses couches répétées. »

Donc, il est possible, au moins chez certaines femmes, que le cuivre reste pendant un temps relativement long après l’enlèvement du stérilet, et que ça entraine des fausses couches par la suite.

Dans le même document, on apprend que le DIU cuivre peut se faire calcifier par les sécrétions de l’utérus.

« La corrosion du cuivre d’un DIU in utero est un phénomène normal qui se développe préférentiellement dans la partie basse du stérilet et peut entraîner la disparition totale du métal. L’initiation du processus comme son évolution dans le temps montrent une grande variation interindividuelle. Elle peut être contrariée, au moins en cas de calcification drastique et rapide par d’épais dépôts de vatérite isolant précocement la partie basse du dispositif. »

Donc, ça va neutraliser en partie l’action du stérilet, et on risque alors d’avoir une perte d’efficacité partielle de la contraception, et des risques de grossesse extra-utérine et de fausse couche.

 

On peut voir sur Pubmed qu’une étude datant de 1989 a montré une augmentation significative du taux de fausses couches si le stérilet au cuivre était porté pendant plus de 2 ans :

« Une étude prospective néo-zélandaise a été lancée en 1982 pour déterminer les taux de fertilité et les résultats des grossesses après le retrait de dispositifs contraceptifs intra-utérins en cuivre pour permettre la conception ou en raison de complications. Au cours d’une étude combinée de quatre ans, 887 dispositifs ont été retirés pour permettre la conception et 164 pour cause de complications. Les participantes étaient 375 (35,7 %) femmes nulligestes et 676 (64,3 %) femmes gravides. Dans les 48 mois, 91,5 % des femmes nulligestes et 95,7 % des femmes gravides avaient conçu. Une étude combinée sur deux ans, portant sur l’utilisation prolongée de dispositifs contraceptifs intra-utérins (plus de deux ans), n’a pas montré de réduction significative de la fertilité ni d’augmentation de la gestation extra-utérine dans les 24 mois.

Cependant, chez les femmes gravides d’une répartition d’âge similaire, on a constaté une augmentation significative du taux de fausses couches par rapport à l’utilisation de dispositifs contraceptifs intra-utérins pendant moins de 2 ans ou par rapport aux femmes nulligestes.

Dans une étude d’un an, les retraits pour cause de complications n’ont pas entraîné de réduction significative de la fertilité ni d’augmentation des taux de gestation extra-utérine, de fausse couche ou d’accouchement prématuré dans les 12 mois, par rapport aux retraits effectués pour permettre la conception. »

(note : gravide = enceinte ; nullligeste = jamais tombée enceinte)

« Il n’y avait pas de différences significatives entre les femmes qui utilisaient le DIU depuis moins de 2 ans et celles qui avaient le dispositif en place depuis 2 ans ou plus en termes de retour à la fertilité ou de taux de grossesse extra-utérine. Cependant, on a constaté une augmentation significative du taux de fausses couches chez les femmes qui avaient utilisé le stérilet pendant 2 ans ou plus (taux de fausses couches de 15,3 %) par rapport à celles qui avaient utilisé le stérilet pendant moins de 2 ans (10,4 %).

Une analyse plus poussée a indiqué que les retraits pour cause de complications n’entraînaient pas de différences significatives dans les taux d’accouchement prématuré par rapport aux retraits pour permettre la conception. Un résultat important de cette étude est un taux élevé d’avortements provoqués (11 %) après le retrait des DIU en raison de complications, ce qui reflète en partie une hypothèse erronée de la part des femmes qui se sont fait retirer leur DIU en raison d’une maladie inflammatoire pelvienne, à savoir qu’elles étaient infertiles. Dans l’ensemble, cette étude prospective suggère que l’on peut s’attendre à un retour favorable à la fertilité et à de bons résultats en matière de grossesse après l’arrêt de l’utilisation des DIU. »

Donc, les femmes ayant eu un DIU cuivre pendant plus de 2 ans avaient 50 % de probabilité en plus d’avoir une fausse couche que celles l’ayant eu pendant moins de 2 ans. C’est énorme.

Et comme le DIU cuivre a été lancé dans les années 70, on peut être sûr que cette étude a été faite pour disculper ce dispositif de l’essentiel des problèmes qui auraient pu en freiner l’adoption par les femmes. Donc, elle est certainement mensongère. Malgré ça, ils ont quand même laissé passer cette information assez accablante pour le DIU cuivre. Mais, ils n’ont pas dû le faire par erreur ou honnêteté. Ils ont dû le faire pour qu’on ne puisse pas les accuser d’être totalement favorables à ce dispositif. Sinon, ça aurait été louche. En laissant cette donnée défavorable pour le DIU cuivre, ils donnaient au grand public l’impression d’être honnêtes. Donc, tout le reste, qui était ultra favorable, allait être considéré comme vrai par le grand public et les journalistes. Mais, la réalité, c’est que ça augmente fortement le risque de fausse couche et de grossesse extra-utérine.

Et s’ils ont laissé passer cette information sur les fausses couches, on peut penser que le chiffre est bien pire que 50 %. C’est probablement 100 % ou 150 % ou encore plus.

Au passage, on peut se demander également s’il n’y a pas plus d’enfants prématurés ou avec des handicaps ou des retards mentaux après un DIU cuivre.

 

Contamination à long terme par le cuivre ?

 

Ce qu’on a vu concernant le fait que le liquide utérin d’anciennes utilisatrices de DIU au cuivre contiendrait des quantités élevées de ce métal est inquiétant. Ça laisse à penser que le cuivre peut rester dans le corps pendant des années.

Et malheureusement, après réflexion, je pense que c’est possible en cas d’intoxication importante. Au début, je pensais que c’était vrai essentiellement localement, là où le corps est en contact avec le cuivre (ici, dans l’endomètre). Mais, en y pensant à nouveau, je pense que c’est vrai aussi globalement.

Localement, là où la concentration est la plus importante, je pense que l’inflammation causée par le cuivre entraine la formation de tissu conjonctif lors de tentatives  de réparation par le corps. Et c’est ce tissu conjonctif qui va fixer le cuivre localement. Ce qui va se passer, c’est que le cuivre va casser les protéines en captant des atomes oxygènes et hydrogènes (indirectement pour ces derniers). Les tissus vont être détruits (d’où des saignements). La zone va se réparer. Mais, il va y avoir une cicatrice. Et le cuivre va être fixé dans cette partie cicatricielle.

Mais, comme l’endomètre se renouvelle régulièrement, une petite partie de ce tissu cicatriciel va être éliminé lors des règles. Et comme ça se fera progressivement, ça pourra durer des années avant que le cuivre ne soit totalement éliminé. D’où le fait qu’on retrouve du cuivre dans les règles pendant des années.

Comme le cuivre se trouve bloqué dans les tissus cicatriciels, il ne doit plus être dangereux. Donc, la quantité de cuivre retrouvée dans les règles doit être plutôt un indicateur de l’endommagement de l’endomètre. S’il y a encore beaucoup de cuivre dans les règles après par exemple 5 ans, on peut penser que l’endomètre a été assez endommagé et que le risque de fausse couche est fortement augmenté.

Donc, la contamination ne doit pas être générale. Elle doit être limitée à la zone où la concentration de cuivre était élevée, c’est à dire au niveau de l’endomètre, du col de l’utérus et éventuellement des trompes.

Bien sûr, le degré de contamination dépendra du temps durant lequel le DIU cuivre aura été porté et l’impact qu’il aura eu localement.

 

Au niveau global, le problème est qu’une bonne partie du cuivre va se répandre dans l’ensemble du corps. Là, il ne va à priori pas être assez concentré pour détruire les tissus et se fixer dans le tissu cicatriciel (par contre, il va remplacer les métaux essentiels dans les nerfs et les muscles). Et donc, il va retourner dans la circulation sanguine pour être éliminé par le foie et les reins. Seulement, comme on va le voir un peu plus loin, il va être bien plus concentré dans ces organes. Et du coup, il va les endommager, comme il endommage l’endomètre. Donc, ils vont progressivement être moins capables d’éliminer le cuivre (et les autres particules), ce qui fait que ce dernier va encore plus endommager ces deux organes. Et on peut penser que, du coup, une partie du cuivre présent dans le foie et les reins va retourner dans le corps et continuer à diminuer la quantité des métaux essentiels. Donc, les problèmes neurologiques risquent de durer pendant encore des années après la disparition de la source d’intoxication initiale. Mais bon, pour ça, il faut quand même une intoxication assez importante et un endommagement du foie et des reins non négligeable. Donc, ça ne va pas concerner tout le monde, heureusement.

 

Stress oxydatif et DIU cuivre

 

Ici (article de 2023), une certaine Marie Lodato évoque une possibilité de stress oxydatif, sans entrer dans les détails. Je pense que c’est possible. En effet, le cuivre se lie très facilement à l’oxygène. Donc, il va certainement capter de l’oxygène pour former des oxydes de cuivre (CuO), et surtout, des hydroxydes de cuivre. Les atomes d’oxygène collés au cuivre ne vont probablement pas être captés par d’autres molécules parce que la liaison avec le cuivre va être très forte. Mais, d’autres molécules, plus instables vont se connecter à l’oxygène collé au cuivre, comme des molécules H (hydrogène) ou OH (oxygène et hydrogène), pour faire une molécule du genre CuO-HO ou CuOH.

Apparemment l’hydroxyde de cuivre 2 a pour formule Cu(OH)2. Donc, en cas de réaction avec un autre composé, on peut penser que la molécule HO se détache. Dans ce cas, il est possible qu’on ait à la fois un effet oxydatif et acidifiant, à voir. Mais, il est assez sûr qu’on aura au moins un effet oxydatif. Donc oui, le DIU cuivre doit certainement entrainer un stress oxydatif. De quelle importance ? On ne sait pas. Mais, c’est à étudier.

Au passage, l’hydroxyde de cuivre 1, ou hydroxyde cuivreux, est encore plus réactif. Sa formule est Cu(OH).

Ce passage de Wikipédia ne confirme ni n’infirme cette théorie. Mais, il permet de constater que l’hydroxyde de cuivre (Cu(OH)2) est toxique, puisqu’on s’en sert comme fongicide :

« L’hydroxyde de cuivre(II) a été utilisé comme alternative à la bouillie bordelaise, comme fongicide ou comme nematicide. »

C’est ce qu’on peut voir aussi ici :

« Hydroxyde de cuivre

H302 – Nocif en cas d’ingestion.
H318 – Provoque des lésions oculaires graves.
H330 – Mortel par inhalation.
H400 – Très toxique pour les organismes aquatiques.
H410 – Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
 »

Et s’il est toxique, c’est certainement à cause de l’hydrogène et/ou de l’oxygène, puisque l’atome de cuivre est déjà lié à l’oxygène et ne va probablement pas réagir avec d’autres éléments. Donc, ici, les éléments réactifs, c’est surement l’hydrogène et/ou l’oxygène.

 

Anémie

 

Le cuivre semble apparemment prendre aussi la place du fer dans les globules rouges. Donc, l’échange d’oxygène va moins bien se faire et la personne va souffrir d’anémie.

 

Action inflammatoire

 

Apparemment, la médecine officielle reconnait que ça a une action inflammatoire directe. C’est même une des bases de l’action du stérilet au cuivre. L’idée est qu’en créant une inflammation de l’endomètre, la nidation de l’ovule ne pourra pas se faire. C’est ce qu’on peut voir sur MSD Manuals (ici) :

« Les DIU préviennent les grossesses :

  • En tuant ou en immobilisant les spermatozoïdes
  • En empêchant les spermatozoïdes de féconder l’ovule
  • En créant une réaction inflammatoire à l’intérieur de l’utérus qui est toxique pour les spermatozoïdes« 

On comprend alors pourquoi ça entraine plus de saignements lors des règles. Comme ça entraine une inflammation, les vaisseaux sanguins sont plus fragiles, ce qui fait qu’ils saignent beaucoup plus facilement. Par ailleurs, on peut penser que le cuivre s’associe à l’oxygène ou à d’autres composants des chairs, ce qui abime ces dernières directement, de même que les vaisseaux sanguins. D’où, là aussi, plus de saignements.

 

Liste de symptômes de l’intoxication au cuivre

 

Sur Wikipédia, on a une image qui donne la liste des divers symptômes de l’intoxication au cuivre. Ça va dans le sens de ma théorie :

En français ça donne.

Principaux symptômes de l’intoxication au cuivre.

Symptômes systémiques : frissons, fièvre, douleur.

Yeux et peau : jaunisse

Bouche : gout métallique

Système circulatoire : anémie, état de choc

Muscles : convulsions, courbature, crampes, faiblesse

Système digestif : vomissements, nausées, douleurs abdominales, sensations de brulure

Foie : fonction dégradée

Reins : pas de production d’urine

Intestins : diarrhées (peuvent être sanguinolentes ou bleuies)

 

Atteinte du foie et des reins

 

Une chose que je n’avais pas anticipée, c’est que ça affecte fortement le foie. Mais, après coup, ça me semble assez logique. En effet, le fonctionnement du foie doit reposer en partie sur certains métaux. Donc, si le cuivre ou autre métal lourd s’accumule dans le foie, il va là-aussi prendre la place des métaux en question et perturber le fonctionnement du foie. Et évidemment, comme une grande quantité de sang passe par le foie, le cuivre va avoir tendance à s’y accumuler.

Et même s’il n’y a pas de réactions à base de métaux dans le foie, le cuivre doit probablement perturber les réactions organiques à base d’oxygène et d’hydrogène. En effet, le cuivre réagit très bien avec l’oxygène.

Et comme on l’a vu, le cuivre va attaquer et enflammer les tissus du foie, puisqu’il y sera présent en concentrations plus importantes qu’ailleurs. En effet, le foie est un organe éliminateur qui filtre les déchets et les envoie dans les intestins, via la vésicule biliaire. Donc, forcément, il concentre les différents déchets de l’organisme. Et plus le foie sera endommagé, moins il sera capable d’éliminer les déchets, et plus la concentration du cuivre augmentera. Du coup, le cuivre endommagera encore plus le foie. Donc là, c’est le foie lui-même qui sera attaqué et pas seulement son fonctionnement qui sera perturbé.

Bien sûr, il faut une intoxication relativement importante pour que ce cercle vicieux se mette en place. Et si l’intoxication prend fin, le foie peut éventuellement se réparer, puisqu’il a apparemment des capacités de guérison assez importantes. Donc, à voir ce qu’il en est pour le DIU cuivre. Mais, il est possible que ce dernier endommage plus ou moins le foie.

Et ça va être aussi le cas des reins. On voit sur l’image de la liste des symptômes qu’il y a une toxicité rénale.

 

Risque différé de cancer de l’endomètre et du col de l’utérus

 

Du coup, si ça entraine une inflammation permanente de l’endomètre, on peut se dire que le DIU cuivre augmente le nombre de cancers de l’endomètre.

Mais, heureusement pour les femmes, comme ça serait évidemment lié au stérilet cuivre, la médecine officielle fait en sorte que ça ne soit pas le cas. Bien sûr, elle peut mentir au niveau des statistiques.

Mais, il est possible qu’elle n’ait pas à le faire. Ce qui l’aide fortement ici, c’est que justement, le stérilet cuivre entraine une inflammation permanente. Donc, face à des tissus un peu anormaux, les médecins vont avoir tendance à dire que c’est simplement l’inflammation liée au stérilet et que c’est normal. Alors que si les patientes n’avaient pas de stérilet cuivre, ils s’orienteraient nettement plus souvent au moins vers une suspicion de cancer de l’endomètre face aux mêmes anomalies. Et les outils de détection couplés à l’interprétation des médecins conduiraient à l’invention d’un certain nombre de cas. Mais là, ils ne vont même pas faire de test. Comme ces mêmes médecins sont aussi ceux qui posent les stérilets, et qu’ils n’ont pas envie d’être accusés d’avoir causé des cancers, ils vont aussitôt se mettre en mode déni face à des anomalies de l’endomètre et dire que c’est simplement l’inflammation causée par le stérilet.

Du coup, effectivement, les statistiques montrent qu’il n’y a pas plus de cas de cancer de l’endomètre sous stérilet, voire que le stérilet cuivre aurait un effet protecteur. Et effectivement, c’est relativement vrai. Ça protège des inventions de cancers de l’endomètre par les médecins. Une arnaque protège d’une autre arnaque. C’est au moins ça de pris.

Par contre, si les patientes n’ont plus de stérilet cuivre depuis des années, il est possible que les médecins posent plus facilement un diagnostic de cancer de l’endomètre. C’est à voir.

Et justement, ce qui se passe, c’est qu’apparemment, la majorité des cas de cancers de l’endomètre sont des femmes de plus de 60 ans. C’est ce qu’on peut voir ici :

« Comme pour la plupart des cancers, l’âge est un facteur de risque important de cancer de l’endomètre : plus une femme vieillit, plus son risque augmente. Il touche généralement les femmes après la ménopause. Le risque est maximal autour de 70-74 ans et l’âge médian au diagnostic est de 69 ans (INCa, 2019). »

A ces âges, plus personne ne fera le lien avec le stérilet au cuivre. Donc, là, les éventuelles anomalies engendrées par le DIU cuivre seront diagnostiqués comme tumorales et pas comme une simple inflammation. Du coup, il est possible qu’on constate un nombre de cas plus important chez les femmes ayant utilisé un stérilet au cuivre.

Cela dit, il est possible qu’après 10 ou 20 ans, les tissus se soient réparés et qu’il n’y ait donc plus d’anomalies. Donc, même là, la proportion de tumeurs diagnostiquées ne seraient pas trop élevées par rapport aux populations de femmes n’ayant pas utilisé de DIU cuivre. A voir.

Et il semble que ça soit pareil avec le cancer du col de l’utérus. Là, il semble qu’on ne parle pas de protection grâce au stérilet cuivre. Mais, il n’y aurait pas plus de cas. On est face au même phénomène de déni qui fait que le médecin va s’orienter vers un diagnostic d’inflammation plutôt que de cancer, de peur d’être tenu pour responsable de ce dernier.

 

Amélioration de la santé après le retrait du stérilet

 

Le fait de retirer le stérilet va bien sûr améliorer rapidement les choses. Toutefois, comme le corps a été en carence de métaux essentiels, il pourra falloir quelques semaines ou mois pour que leurs niveaux reviennent à la normale. Et ça sera particulièrement le cas si la personne ne sait pas d’où vient le problème et n’augmente pas un peu la consommation de sel.

Et si le taux de cortisol a monté, alors, il va s’effondrer d’un coup. Ça entrainera une hypotension et donc un manque d’énergie. Ça provoquera aussi des douleurs articulaires, des maux de tête, etc… Et ça pourra durer pendant plusieurs mois. Sauf bien sûr, si la personne prend immédiatement après une contraception hormonale, puisque celle-ci va faire augmenter le taux de cortisol.

Par ailleurs, si la femme qui a eu un stérilet suit des traitements détox, on lui conseillera peut-être de boire beaucoup, spécialement de l’eau contenant très peu de minéraux. Ça pourra entretenir le manque de métaux essentiels.

 

Divers

 

On peut penser qu’il y a des degrés d’intoxication divers. Donc, dans certains cas, les symptômes seront surtout locaux, alors que dans d’autres, ils seront aussi globaux (et les symptômes locaux seront plus importants).

 

Les quelques témoignages que j’ai vu parlent aussi de pertes de cheveux (ici par exemple).

 

Selon la femme de la première vidéo, l’intoxication au cuivre ne se détecte pas à travers les tests sanguins. C’est avec l’étude des cheveux que c’est possible. Donc, l’intoxication peut être invisible via les tests sanguins.

 

A noter que dans l’article de Lodato, il est dit :

« Outre le caractère inflammatoire, il est intéressant de signaler dans la plupart des DIU-Cu la présence de sulfate de baryum (pour ses propriétés radio-opaques). »

Donc, il est possible qu’il y ait une toxicité aussi via le sulfate de baryum, très probablement de la même sorte qu’avec le cuivre (remplacement des métaux essentiels par le baryum, stress oxydatif et éventuellement augmentation de l’acidité corporelle).

 

Les douleurs peuvent mettre relativement longtemps à apparaitre. C’est ce qu’on peut voir avec ce témoignage. Pour cette femme, c’est seulement au bout d’un an que ça a commencé. Donc, un certain nombre de femmes qui n’ont le stérilet cuivre que depuis par exemple 6 mois pourront dire qu’elles n’ont aucun problème de douleur et que c’est un moyen de contraception formidable.

 

On trouve beaucoup de témoignages ici.

 

60 % des femmes abandonnent le DIU cuivre au bout de 5 ans

 

Dans l’article de Marie Lodato (Le DIU au cuivre présente-t-il un risque de toxicité chronique ?), on apprend que 60 % des femmes se font retirer leur DIU cuivre au bout de 5 ans :

« En conséquence, jusqu’à 60 % des utilisatrices choisissent, pour diverses raisons, de se faire retirer leur DIU dans les 5 ans suivant l’insertion.

Les raisons les plus courantes de l’arrêt de cette méthode sont ainsi motivées par :

  • Des règles qui deviennent plus longues et abondantes,
  • Un risque accru de dysménorrhées.« 

Avec tous les effets secondaires vus ici, ça semble assez normal. A mon avis, les raisons sont loin de se limiter aux règles plus longues et plus abondantes et aux dysménorrhées (douleurs menstruelles). Seulement, ce sont les symptômes qu’on peut le plus facilement relier au DIU cuivre. Donc, ça va être les raisons que vont avancer en premier les femmes qui désirent abandonner ce moyen de contraception. Mais, beaucoup auront des soupçons sur de nombreux autres problèmes de santé qu’elles auront commencé à ressentir après s’être fait poser le stérilet.

Et si autant de femmes abandonnent le stérilet cuivre après 5 ans, c’est aussi grâce à Internet, qui permet aux femmes de témoigner et d’échanger sur le sujet, et aux dissidents de la médecine de les prévenir du problème. Sinon, beaucoup n’auraient que l’avis des médecins et des médias officiels et se diraient que leurs symptômes n’ont rien à avoir avec le stérilet.

 

Réticence des médecins à enlever le stérilet cuivre

 

Et apparemment, ça n’est pas facile de se faire retirer le stérilet par un médecin. Non pas que ça soit difficile techniquement. Ça ne pose aucun problème à ce niveau-là. Mais, beaucoup de médecins vont avoir tendance à refuser de le faire.

Ils vont demander pourquoi la personne veut se faire retirer le stérilet. Et si celle-ci met en avant des effets secondaires, le médecin dira presque systématiquement que ça n’a rien à voir avec le stérilet et refusera de l’enlever. Il faudra pleurer, s’énerver, gueuler pour les obliger à le faire. Dès que les médecins se sentent remis en cause, il n’y a plus personne. Et ça, même si ça n’est pas eux qui l’ont posé. C’est comme certains abonnements où c’est la croix et la bannière pour se désabonner. Donc, ça aussi, c’est une chose qui devrait faire hésiter quant au choix du stérilet.

Alors, c’est possible. La preuve, 60 % des femmes se font enlever le stérilet au cuivre au bout de 5 ans. Mais ça ne sera pas forcément facile.

En fait, beaucoup réussiront à se le faire enlever en prétextant la volonté d’avoir un enfant. Là, les médecins ne feront pas de problèmes. Un autre moyen de se le faire retirer sans trop de difficulté, ce sera de dire qu’on veut repasser à la pilule parce que les règles sont trop abondantes. Comme c’est à peu près le seul effet secondaire largement accepté par la médecine officielle, ça passera sans trop de réticences. Bref, il y aura des raisons plus acceptables que d’autres dans l’esprit des médecins. Donc, si on veut se faire enlever son stérilet sans trop d’opposition de la part des médecins, il faudra souvent biaiser et mentir sur ses vraies motivations.

Heureusement, il semble que ça soit possible de l’enlever soi-même. Certaines femmes ont réussi à le faire. Donc, il y a apparemment un plan B, même si les médecins sont de mauvaise volonté.

 

L’importance du stérilet au cuivre pour l’industrie pharmaceutique

 

Apparemment, 15 % des femmes en âge de procréer utiliseraient un stérilet au cuivre (c’est ce qu’on peut déduire des chiffres donnés ici et ici). L’usage en serait donc assez répandu. Et on peut penser qu’il le sera de plus en plus, puisque grâce aux travaux des dissidents de la médecine, les femmes se détournent de plus en plus de la pilule et du stérilet hormonal. Donc, de plus en plus de femmes vont avoir des problèmes liés au stérilet au cuivre.

Et on comprend alors pourquoi la médecine officielle minimise les effets secondaires de ce dernier. C’est un marché en expansion et c’est le seul dispositif qui reste en dehors de la pilule ou du DIU hormonale. Donc, si les femmes se détournent aussi du DIU cuivre, il ne reste pratiquement plus aucune méthode « moderne » de contraception. Donc, maintenant que les digues ont lâché pour la contraception hormonale, la médecine officielle va tout faire pour sauver le stérilet au cuivre.

 

Conclusion et perspectives

 

Donc, le stérilet au cuivre, qui aurait pu sembler assez anodin à première vue, est en réalité toxique et est une méthode de contraception à éviter le plus possible.

Au final, puisque les dissidents de la médecine ont également remis en cause l’innocuité de la contraception hormonale, il ne reste plus aucune méthode de contraception moderne de recommandable.

Au mieux, la pilule peut servir de méthode d’appoint pratique pendant un mois ou deux. Mais, ça n’est pas une solution sur le long terme.

Et bien sûr, la présente analyse va bien plus loin que le simple problème du stérilet au cuivre. Ça veut dire que pratiquement tous les métaux lourds posent des problèmes similaires. Il doit y avoir des variations en fonction de tel ou tel métal. Donc, il doit peut y avoir des symptômes en plus ou en moins. Mais globalement, on va avoir les mêmes symptômes. Cette théorie a donc un domaine d’application immense.

 

PS :

 

Petit détail. Le stérilet au cuivre a deux fils qui dépassent dans le vagin. Ça sert à pouvoir le retirer. Alors, on aurait tendance à se dire que c’est forcément des fils souples. Mais, dans ce cas, il y aurait un risque qu’ils bougent et aillent dans le col de l’utérus. Donc, en réalité, ce sont des fils relativement rigides. C’est comme des fines tiges. Ainsi, ils restent en place. Ça ne gêne pas la femme. Mais si elle a des relations sexuelles, ça peut être désagréable, et même douloureux pour le partenaire.

Et bien sûr, dès s’agit de parler des problèmes d’un médicament ou d’un dispositif médical quelconque, les médecins pratiquent la rétention d’information. Ils vont prévenir la patiente de la présence des fils. Mais, ils ne vont pas être précis sur leur rigidité véritable, ce qui fait que la patiente va croire qu’il s’agit de fils assez souples qui ne poseront pas de problèmes. On a le témoignage de cette femme qui a découvert la véritable rigidité des fils en explorant son vagin. Voici ce qu’elle dit :

« Je m’imagine quelque-chose d’assez souple. Enfin, quelque-chose, voilà, qu’on ne sent quasiment pas en fait. Ou du moins, si on le sent, en tout cas, ça fait pas mal. Et là en fait, je mets mes doigts et je sens un truc, mais alors ça vraiment, celles qui ont un stérilet et je pense que vous pourrez commenter sous cette vidéo ; mais moi j’ai eu cette réaction de haaaaaaan, mais comment je vais faire. Parce que le truc c’était pas un fil, c’était, c’était une tige, c’était des, deux, parce qu’en plus il y en a deux, deux tiges en métal ; enfin le truc ça m’a piqué les doigts. Je me suis dit, mais comment, enfin, comment est-ce qu’on peut avoir des rapports tranquilles en ayant ça quoi, c’est pas possible. »

Et effectivement, on apprend dans la suite de la vidéo, que son copain avait des gros problèmes avec cette tige durant les rapports. Ça le piquait. C’était douloureux.

Alors, ça ne doit pas poser de problème dans tous les couples. Mais, ça doit arriver tout de même plus fréquemment que ce que la médecine officielle ne le dit.

Bien sûr, ça ne compromet pas la santé. Mais, si ça doit empêcher les relations sexuelles, c’est quand même très gênant. En fait, ça détruit l’intérêt de la chose. Si on ne peut plus avoir de relations, à quoi sert un système de contraception ? A rien.

D’ailleurs, on retrouve le même problème avec la pilule et le DIU hormonal. Ça diminue fortement le plaisir, ce qui fait que la femme n’a plus envie de faire l’amour et très souvent, le couple finit par ne plus avoir de relations sexuelles du tout. Ce qui réduit l’intérêt de la chose à zéro. Et c’est même complètement négatif, puisqu’on a des effets secondaires importants, mais pas de vie sexuelle.

 

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