Autres arguments contre la théorie des bactéries pathogènes

On a vu que quand une bactérie se trouve dans un liquide en mouvement, elle ne peut pas se développer.

Mais, il n’y a pas que ce problème qui fait que la théorie des bactéries pathogènes est forcément fausse. En voici 3 autres.

 

1) Élimination par phénomène de vidange

 

Le corps humain se vidange en permanence des particules inutiles qui y sont présentes. Donc, les bactéries ne restent pas dans le flux sanguin ou lymphatique. Elles sont vidangées comme les autres particules, que ce soit par les reins ou par le foie.

Comme on l’a vu dans un précédent article, les bactéries ne peuvent pas se multiplier dans le sang à cause du flux rapide. Celui-ci dilue les liquides qui leurs servent à dissoudre leur nourriture, ce qui les empêche de détruire le corps et de s’en nourrir. Mais en plus, il y a ce phénomène de vidange. C’est pour ça qu’on ne trouve pratiquement pas de bactéries dans le sang.

Mais, justement, comme ces deux phénomènes limitent très fortement la quantité de bactéries dans le sang, l’élimination par les reins et le foie ne concerne que très peu de bactéries. Donc, la vidange des bactéries reste quasi invisible.

On peut voir ici que le foie évacue les déchets de l’organisme soit par la bile s’ils sont liposolubles, soit par les reins, s’ils sont hydrosolubles :

« Une usine d’épuration de l’organisme

Certains éléments qui arrivent au foie sont toxiques pour l’organisme. Le rôle du foie est de les transformer (dégrader) en produits non-toxiques.

Certains produits devenus non toxiques se dissolvent dans les graisses (liposolubles) et sont évacués par la bile vers l’intestin puis les selles.

Les produits qui se dissolvent dans l’eau (hydrosolubles) sont reversés dans le sang, qui les mène jusqu’aux reins. Puis ils sont filtrés et éliminés dans les urines. »

Et il y a peut-être d’autres organes qui ne les éliminent pas, mais les recyclent sous une autre forme en effectuant une oxydation ou une acidification ou autres types de réactions chimiques.

Ce phénomène de vidange limite lui aussi très fortement le nombre de bactéries présentes dans le corps. S’il n’y avait pas ça, peut-être que les bactéries finiraient par être suffisamment nombreuses pour poser problème. Mais, avec ce système, elles restent en quantités suffisamment faibles pour avoir un impact nul sur l’organisme.

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