La remise en cause du lien entre VIH et le SIDA

 

La réfutation du lien entre le VIH et le SIDA est, me concernant, l'origine de toutes les autres remises en cause. C'est vraiment la théorie bien établie avec plein de faits, de témoignages et de statistiques la corroborant. Alors que les autres théories que j'ai mises à jour sont toutes beaucoup plus expérimentales, ou alors tellement peu répandues qu'il y a peu de données les coroborant. En même temps, cette remise en cause du SIDA tel qu'on nous le présente habituellement c'est un truc tellement basique pour moi maintenant que je ne vais pas approfondir tellement ici. Il y aurait trop de chose à mettre et ce serait perdre du temps inutilement. Je vous renvoie donc vers sidasante.com où vous trouverez tous les éléments vous permettant de vous rendre compte que toute cette histoire du VIH causant le SIDA est clairement bidon et archi bidon.

Mais bon, je vais quand même vous faire un tout petit résumé de l'affaire.

En gros, le VIH n'a jamais été isolé selon les procédures qui font référence en virologie. Et tout porte à croire qu'il n'y a tout simplement pas de VIH, pas non plus de maladie transmissible, pas plus que de maladie d'immunodéficience.

Montrer une photo d'une particule de la taille d'un retrovirus ne suffit pas, il faut faire tout un travail par ailleurs pour prouver que la particule est bien un retrovirus et dans le cas présent, qu'en plus, c'est un retrovirus pathogène.

Or, ce travail n'a pas été fait.

Déjà, rien que le travail pour prouver que ce qui a été photographié est bien un retrovirus n'a pas été fait. Pour dire qu'on a isolé un virus, il faut faire une purification de la culture qu'on suspecte de contenir le virus (culture qui vient d'un échantillon d'une personne malade). C'est à dire qu'on filtre la culture pour ne retenir que les particules de taille virale. Or, en 1983, rien que cette purification n'a pas été faite. Donc, en 1983, on ne pouvait clairement pas dire qu'on avait isolé un virus.

Ensuite, ce n'est pas suffisant d'avoir purifié, ce qui est important, c'est ce qu'on obtient. Dans la culture purifiée, il faut qu'il y ait à 99 % des particules de même taille et même forme pour dire qu'on a bien un virus. Or, en 1997, il y a bien eu une purification qui a été faite, mais justement, les particules différaient les unes des autres en taille et en forme. Donc, la plupart des particules qu'il y avait devaient être des débris cellulaires. Donc, là encore, on ne pouvait pas dire qu'on avait isolé le virus.

Donc, on a selectionné une partie de la photo, et on dit que 4 ou 5 parmi les nombreuses autres particules qui s'y trouvaient étaient le virus VIH. Mais, comme vu plus haut, la photo ne veut rien dire. Donc, il n'y a pas de photo du VIH. Donc oui, toutes les photos qui présentent le VIH sont fausses.

Bon, mais, après tout, on pourrait se dire qu'on n'a tout simplement pas trouvé le bon microbe et qu'il y a quand même une maladie transmissible. Mais les statistiques, les taux officiels de contamination (extrêmement bas), l'évolution du nombre de séropositifs, la natalité et la mortalité en Afrique etc..., ne plaident pas du tout en faveur d'une maladie transmissible.

Ensuite, l'évolution de la maladie chez ceux qui sont censés être séropositifs ne plaide pas du tout non plus en faveur d'une maladie microbienne détruisant le système immunitaire. Donc, ça commence à faire beaucoup de choses contre l'hypothèse du virus tueur.

Enfin, l'AZT à haute dose engendre des effets iatrogènes identiques à ceux qu'on attribue au VIH. Mais, il ne s'agit pas de perte d'immunité ; dans le cas de l'AZT, il s'agirait plutot de stress oxydatif. Il y a d'autres médicaments qui engendrent du stress oxydatif comme les poppers (un drogue), des antibiotiques comme le Bactrim, etc... Et il y a des médicaments qui ne font pas qu'engendrer un stress oxydatif, mais engendrent d'autres phénomènes comme ceux que j'ai décrit dans "toxoplasmose et séropositivité" (des attaques cérébrales).

Depuis 1995 et l'introduction des trithérapies, la mortalité a beaucoup diminué parce que 1) la dose d'AZT a été très fortement diminuée 2) comme la montré ici Cheminot, un autre médicament composé de la molécule 3TC est en fait un antioxydant puissant (un analogue du glutathion si je me souviens bien). Donc, les doses de médicaments dangereux sont beaucoup moins léthales et en plus, on donne un contre-poison (le 3TC). Et en plus de tout ça, comme il s'agit de cocktails, on modifie la quantité, voir on supprime certains médicaments composant le cocktail dès qu'il y a intolérance pour les remplacer par d'autres. Ce qui fait que les séropositifs sous traitement arrivent rarement au point de rupture de tel ou tel médicament. Enfin, on fait depuis le début des années 2000, des arrêts thérapeutiques souvent assez longs (1 an, voir 2 an, voir plus, selon les résultats des examens sanguins). Là aussi, ça évite d'arriver au point de rupture.

C'est ce qui motive les dissidents du groupe de Perth ou comme Stefan Lanka à dire qu'il n'y a tout simplement pas de virus VIH et pas de microbe tueur, mais des prises de substances dangereuses (prise de drogues comme les poppers ou autres drogues engendrant un stress oxydant et prise de médicaments dangereux à hautes doses comme l'AZT).

Enfin bref, il n'y a pas de virus VIH, il n'y a pas de maladie d'immunodéficience, il n'y a pas d'épidémie. Il n'y a que des maladies iatrogène sans immunodéficience.

Il est évident que lorsque l'on découvre cette remise en cause du lien entre le VIH et le SIDA et même de l'existence du VIH, d'un seul coup, le regard sur l'ensemble de la médecine est changé. Si on a pu inventer purement et simplement un maladie qui n'existe pas tel que le SIDA, ça a pu arriver pour d'autres maladies. Donc, il y a tout d'un coup un gros gros doute sur le reste de la médecine. Quand une organisation déconne une fois, elle a de très fortes chanches de déconner quasiment tout le temps. Et effectivement, à l'analyse, une énorme partie de la médecine est du même tonneau.